Les emblèmes aux visages changeants
Les emblèmes aux visages changeants
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Les tableaux accrochés aux murs du musée isolé semblaient enraciner Adrien, immobiles et silencieux, mais porteurs d’un iceberg troublant. Il connaissait l’art, la pratique des immémoriaux maîtres, la personnalité dont les pigments réagissaient à la clarté et au Âges. Pourtant, zéro motif scientifique ne pouvait justifier ce qu’il voyait. Chaque quantième, les images changeaient. Certains faciès s’altéraient admirablement, leurs frimousse devenant plus agressifs, comme par exemple s’ils vieillissaient sous ses yeux. D’autres laissaient être découvert des expressions sensationnelles, des regards emplis de âcreté ou d’effroi. Mais le plus pessimiste était l’effacement progressif de certains sujets, comme si la peinture elle-même décidait d’en faire s'atténuer les frimousse. Il savait que la voyance par téléphone permettait quelquefois de déceler des signes intangibles à l’œil non averti. Les gadgets, comme les villes, conservaient une tonalité énergétique, un conte de ce qui avait persisté à la renaissance. Ces peintures réagissaient-elles à des attributs qui s’était produit ici, ou à une narration encore éventuelle ? Il s’approcha d’une toile en particulier. La veille, elle représentait un couple élégamment vêtu, figé dans un sourire sobre. Aujourd’hui, unique l’homme restait présent. La lignes du sujet s’était estompée, son face à copie discernable par-dessous une couche de pigments ternis. Comme si elle s’effaçait peu à larme, avalée par le temps ou par un effet inconnue. La voyance téléphone enseignait que certains phénomènes ne avaient l'occasion de être compris immédiatement. Ils évoluaient rangée, se manifestant délicatement jusqu’à ce que leur signification devienne évidente. Était-il en train d’assister à l’effacement d’une mémoire piégée dans ces toiles ? Adrien recula et observa le plus grand nombre des peintures.
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